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Pièce de théâtre sur le réseau alimentaire des Grands Lacs

Par Marjane L. Baker

Traduit par Catherine Gill

Niveaux : 4et 5e années

Matières : les sciences, la langue et l’art dramatique

Concepts clés : les réseaux alimentaires en eau douce, les niveaux trophiques et les espèces envahissantes

Compétences : la recherche, l’identification et la représentation d’espèces aquatiques en eau douce, l’interprétation d’une pièce de théâtre, la projection de la voix, la résolution de problèmes

Lieu : en classe

Durée : 1 à 2 heures en classe et 30 minutes à la maison

Matériel requis : le script (1 par élève), du papier à dessin, du papier de bricolage, un carton pour affiche, une liste de vocabulaire (facultative)


Les Grands Lacs forment le plus grand bassin d’eau douce au monde et accueillent un vaste éventail d’organismes. Cette communauté de plantes et d’animaux, de l’algue Spirogyra en forme de spirale complexe au chabot aux yeux exorbités, en passant par les colonies de goélands, survit grâce aux interactions et à l’interdépendance des organismes qui forment un réseau dynamique. Comme partout ailleurs, le grand jeu de la survie dans ce monde sous-marin repose sur trois éléments : se reproduire, manger et éviter d’être mangé. Au cours de 200 dernières années, les humains ont grandement influencé la santé de l’écosystème des Grands Lacs. Près de 32 millions de ces humains habitent présentement sur la ligne de partage des eaux des lacs et autour de celle-ci, et sur 16 000 kilomètres (10 000 miles) de leur côte. La surpêche, la destruction d’habitats, la pollution et l’introduction d’espèces exotiques, telles l’abondante moule zébrée et la lamproie prédatrice, ont fragilisé l’équilibre naturel des organismes et des niveaux trophiques des Grands Lacs.

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